4 2 2 D O C U M E N T 2 9 9 J U L Y 1 9 2 2 Und bitte, zerstreuen Sie die Bedenken Ihrer Frau, daß Sie nicht schon wieder kommen könnten es ist ja glaube ich, das erstenmal, daß Ihrer nicht eine mehr oder minder lustige Arbeit hier harrt umso schöner und freier wird die Zeit sein, nur manchmal gewürzt durch ein paar kniffliche technische Fragen, die Ihnen ja glück- licher Weise Freude machen. Die letzte Seite muß für meine Frau bleiben, sonst zankt sie.[5] Also einstweilen bis auf recht baldiges Wiedersehen die herzlichsten Grüße Ihnen und Ihrer Frau von Ihrem Anschütz-Kaempfe ALS. Lohmeier and Schell 2005, pp. 173–174. [37 381]. Written on the author’s letterhead. There are perforations for a loose-leaf binder at the left margin of the document. [1]For Einstein’s proposal to set up a guest apartment for his planned visits at or near Anschütz- Kaempfe’s factory in Kiel, see Doc. 292. [2]Reta Anschütz-Kaempfe-Stöve Hermann Wilhelm Stöve (1860–1931) and Margaretha Stöve- Wiebols (1862–1941). [3]In Doc. 292, Einstein had informed Anschütz-Kaempfe that he considered a planned visit with his sons an imposition on his wife Reta. They were planning to move to Schloss Lautrach (see Doc. 250). [4]Einstein had informed Anschütz-Kaempfe of his water-logged sailing boat three days earlier (see Doc. 292). [5]Reta Anschütz-Kaempfe-Stöve’s appended letter to Elsa is omitted. 299. From Gustave Le Bon 29, Rue Vignon, Paris, le 19 Juillet 22. Monsieur, Pour savoir si un texte imprimé existe ou n’existe pas il n’est nullement besoin d’avoir recours à aucun savant.[1] J’admets volontiers que comme tant de vos com- patriotes vous refusez de lire les livres français. Mais vous lisez au moins ceux con- sacrés à vanter vos doctrines, surtout quand ils sont écrits par un co-religionnaire. Donc vous ne pouvez ignorer le livre de Mr Moch sur la Relativité.[2] Vous y trouverez je vous le répète encore toute l’historique que vous persistez à vouloir ignorer. Vous y verriez comme je l’ai rappelé dans un article récent de la Nature,[3] que 15 ans avant vous j’avais montré que la matière et l’énergie sont une même chose et calculé l’équivalent énergétique de la masse. Vous avez lu je suppose la Bible. Vous y avez donc lu, qu’il n’est de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.[4] Recevez, Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée. Gustave le Bon