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Je crois bien qu’en effet I2 se décompose comme les corps radioactifs (et j’y
consacre un chapitre de mon travail) mais précisément en croyant que les corps ra-
dioactifs comme I2, sont décomposés par de la lumière (pour le radium, des rayons
ultra X, jaillis de la Terre, de ) (lumière qui accroît brusquement l’éner-
gie
interne).[3]
J’ai lu vos lettres à Madame Curie et à
Langevin.[4]
Ils vous envoient, eux aussi,
toutes leurs amitiés.
Oui, j’espère vous revoir prochainement. Dès que vous verrez une occasion fa-
vorable, prévenez-moi. Langevin et moi, et Weiss nous serions très heureux de faire
un petit congrès scientifique avec vous, quand les voyages seront un peu plus
faciles.[5]
D’ici là, continuons à nous écrire.
Bien amicalement,
J. Perrin
J’ai bien reçu votre livre. Merci.
Francis a été reçu le
1er
(à 16 ans ½) à l’École Normale (Sciences) [en
1918].[6]
Il sera un meilleur physicien que son père.
ALS. Einstein 1989, pp. 254–255. [19 042]. Written on letterhead of “Laboratoire de Chimie Phy-
sique. Sorbonne.”
[1]This letter is dated on the assumption that it is a response to the preceding document.
[2]Einstein asked for help in repatriating a relative who was a French prisoner of war (see the pre-
ceding document).
[3]See Perrin 1919, pp. 78–95; see also Doc. 96, notes 5 and 6, for more on Perrin’s theory.
[4]Perrin shared the contents of the letters he had received from Einstein with Marie Curie and Paul
Langevin (see Docs. 114 and 156).
[5]Pierre Weiss. Another reason for caution may have been the boycott instituted by the Allies in
mid-1919 to deny German participation in international scientific congresses (see Doc. 80, note 5).
[6]The square brackets are in the original; Francis Perrin (1901–1992).
158. To Theodor K. von Wasielewski[1]
Haberlandstr. 5. Berlin W. 30, den 6. Nov. 19.
Medizinische Fakultät der Universität Rostock.
Sehr geehrter Herr Dekan!
Von einer Reise aus Holland
zurückgekehrt[2]
finde ich Ihre freundliche und eh-
renvolle Einladung vor, der ich gerne Folge
leiste.[3]
Dass meine Verdienste um die
medizinische Wissenschaft wohl stets im Reiche der Zukunft ihren würdigen Platz
behaupten werden, tut dabei nichts zur
Sache.[4]
Von der Verlegung der Feier habe
ich Kenntnis
erhalten.[5]
Mit vorzüglicher Hochachtung Ihr dankbar ergebener
A. Einstein.
λ 10–11 =