2 8 2 D O C U M E N T 1 7 5 D E C E M B E R 1 9 2 3 widerwärtigen äußeren Umstände: in kalten Räumen, ohne jede Bequemlichkeit, bei unregelmäßiger Ernährung, Abgeschiedenheit, und Nacht für Nacht fast bis zum dämmernden Morgen. Es ist noch unbestimmt, wie lange sie fortbleiben wird.— Ihrer Frau und Margot geht es gut Ilse hatte wieder zu klagen—ihre Nerven sind sehr reizbar.—[7] Nun leben Sie recht wohl! Richten Sie Sich bitte etwas nach meinen Vorschlä- gen, und erfreuen Sie bald mit guten Nachrichten Ihren H. Mühsam. ALS. [38 323]. [1]For a previous reference to the recurrence of Einstein’s abdominal illness, see Doc. 159, esp- cially note 3. [2]Einstein had temporarily ceased smoking due to his abdominal ailment in late 1917 but had resumed doing so by May 1920 at the latest (see Einstein to Heinrich Zangger, 17 October 1917 [Vol. 8, Doc. 391a in Vol. 10], and Einstein to Elsa Einstein, 9 May 1920 [Vol. 10, Doc. 9]). [3]Félix d’Hérelle (1873–1949) was a Canadian microbiologist. Apparently the virus mentioned is the bacteriophage, discovered by him. [4]Presumably a reference to an experiment that was done in Berlin by Hermann Mark to replicate the Compton effect, see Doc. 125 for further details. [5]Betty Neumann. [6]Minna Mühsam-Adler. The Jewish children’s home “Ahawah” planned to establish a vacation home in Kolberg in the province of Brandenburg (see Mühsam, M. 1932, p. 6). [7]Elsa, Margot, and Ilse Einstein. 175. From Théophile de Donder 5 Rue de l’Aurore, Bruxelles, Le 10-12-1923 Mon très honoré Collègue, Je vous remercie bien vivement de votre aimable lettre du 4 décembre.[1] J’ai tar- un peu d’y répondre, parce que je conservais toujours l’espoir de pouvoir me rendre à Leiden malheureusement, un événement imprévu me privera du plaisir et du fruit d’une entrevue avec vous. Je tâche de me consoler en pensant que peut-être vous vouliez bien me tenir au courant du développement de vos nouvelles re- cherches, et qu’ainsi mes leçons à Paris (1r au 8 mai 1924) refléteront exactement toute votre pensée, à ce moment. J’aurai ainsi la satisfaction d’avoir contribué, dans une faible mesure, il est vrai, à la diffusion de vos théories. La conclusion à laquelle vous êtes arrivé actuellement et que vous exprimez si nettement à la fin de votre lettre («keine physikalische Bedeutung) ne m’étonne pas trop il m’a toujours semblé que si [---] a priori des courants électriques dans le champ gravifique, celui-ci serait identiquement nul. Le champ gravifique en l’espace-temps déformé est, à mes yeux,[2] une sorte d’expression σuα) (
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